Year: 2014

Chercher un appartement à 30 ans comme Robin Scherbatsky

Choisir son (premier) logement

La vingtaine est dans la plupart des cas la période où l’on quitte pour la première fois le nid familial. On part de chez ses parents pour faire des études, s’installer avec quelqu’un ou tout simplement pour couper le cordon. En général, cette première installation n’est que provisoire : elle peut durer quelques mois, voire quelques années. Puis, avec le temps, vient l’envie de trouver un autre logement, qui correspondra plus à nos attentes, à nos envies et que l’on choisira avec soin. C’est ainsi qu’à 30 ans (ou presque) la plupart d’entre nous se retrouvent à chercher un appartement ou une maison, que ce soit pour une location ou bien pour un achat.

Raquel Welch en femme préhistorique sexy

Retour à l’Âge de pierre (ou la vie sans internet)

Ouf. Je revis. Je suis revenue il y a peu après un mois de vacances… sans internet. Chaque été, c’est la même chose. C’est un peu mon Koh lanta à moi. Je dois tenter de vivre sans internet (ou presque)… et sans devenir folle. Quand on a 30 ans (ou presque), on a connu l’Âge de pierre, enfin je veux dire, la vie telle qu’elle était avant la révolution numérique. On a utilisé des encyclopédies, fréquenté des bibliothèques, regardé la télévision… Tout un tas d’activités qui nous demandaient des efforts et que l’on peut réaliser aujourd’hui d’une simple pression du doigt sur son smartphone. Ce qui rend le retour en arrière d’autant plus douloureux. J’ai donc passé mes vacances dans le fin fond du Cantal, là où j’ai grandi, dans un endroit bucolique situé entre deux vaches et une botte de foin. J’ai résidé dans un gîte rural au confort spartiate. Entendez par là sans ordinateur, sans modem, sans wifi et sans… 3G. Bref, j’ai vécu coupée du monde pendant un mois. Je me suis …

Souvenirs des années 1990

Nos (lointaines) années collège

À l’occasion de la rentrée scolaire, je vous propose un petit flashback sur nos années collège. Si comme moi vous avez 30 ans (ou presque), vous aussi vous avez été collégiens au milieu des années 90. Les années 90. Au siècle dernier. Eh oui. Installez-vous confortablement. Fermez les yeux. Non, en fait, rouvrez-les, ce sera plus pratique pour lire la suite. Il était une fois, dans un passé fort fort lointain, des petits collégiens perdus au milieu des années 1990. Je vais vous raconter leur histoire…

Porter des accessoires tendance quand on a 30 ans

Suis-je trop vieille pour porter des accessoires tendance ?

Sur les mannequins, les dernières tendances en matière de vêtements, maquillage et accessoires paraissent toujours ultra désirables. Mais pour autant, une fois sorti des pages glacées du magazine, tout ce qui est montré est-il vraiment mettable dans la vraie vie ? Et surtout, peut-on l’assumer même quand on n’est pas (plus) une nymphette de 17 ans ? Vous allez me répondre que oui, il suffit de regarder Lady Gaga pour se rendre compte que tout est mettable. Mais voilà, je ne sais pas pour vous, mais ma vie à moi c’est plus métro-boulot-dodo que artshow-concert-MTV awards. Il faut se rendre à l’évidence : quand on a 30 ans (ou presque), on ne peut pas tout se permettre. Avec l’âge, on est sensé acquérir un sens du style plus aiguisé… ou plutôt qui correspond à l’idée générale que se font les gens de ce à quoi une personne de 30 ans doit ressembler. Pourtant, cela n’empêche pas d’être créatif dans ses tenues, de s’amuser. Mais il faut savoir doser. Non, le total look fluo, ce n’est …

La plage à 30 ans (ou presque)

L’été : révélateur de vieillesse intérieure

Quand on a 30 ans (ou presque) on ne se sent pas si différent de quand on avait 20 ans. Pourtant, entre les deux, le temps a passé. Et s’il y a bien un moment où l’on s’aperçoit du poids des années, c’est l’été. Le reste de l’année on peut donner le change, voire même se comporter comme une gamine occasionnellement pour compenser… mais quand on regarde la manière dont on passe la période estivale, on s’aperçoit qu’entre les deux dizaines, un certain nombre de choses ont changé. L’été ferait-il vieillir ?

Je deviens maléfique

Faut il être méchant(e) pour réussir ?

Quand on est petit, on nous dit toujours d’être gentil avec les autres. On nous enseigne que c’est mal de se battre, de dire des méchancetés, d’embêter les personnes avec qui on est en contact. On insinue même que si l’on adopte ce genre de comportement, il risque de nous arriver des choses déplaisantes. Passé un certain âge, on finit par se rendre compte que ce n’est pas forcément le cas. Pire, on se rend compte que parfois, les méchants s’en sortent bien. Voire même s’en sortent mieux. Récemment, j’en suis même arrivée à un constat alarmant : être méchant est carrément devenu à la mode. On le voit dans les pubs, on le voit dans le monde des médias : être gentil, c’est désormais être niais ; être empathique, c’est être faible. Au contraire, les méchants sont valorisés, ils sont désormais plus cools que les autres, en un mot : ce sont devenus des modèles.