All posts filed under: Du mythe à la réalité

Le pire et le meilleur des années 90

Faut-il détester les années 90 ?

Si vous avez 30 ans (ou presque), alors vous gardez probablement un souvenir vibrant des années 90, ces années pendant lesquelles vous étiez enfant, puis adolescent(e). Si certains de ces souvenirs invitent à la nostalgie, d’autres au contraire nous inspirent aujourd’hui du dégoût voire de la honte, car certaines choses que nous avons aimées à l’époque sont beaucoup plus difficiles à assumer aujourd’hui ! Dans mon 1er article sur cette thématique, il y avait du lourd : les Boys bands, crop tops, pogs et autres Tamagotchis en avaient pris pour leur grade. En 12 illustrations, prises dans les domaines de la mode ou encore de la culture, je vais aujourd’hui vous donner 12 nouvelles raisons de détester les années 90 !

Les métiers que l'on rêve d'exercer

Les 10 métiers que j’aurais voulu exercer

« Qu’est-ce que tu voudrais faire plus tard ? » Je ne sais pas vous, mais moi, j’ai toujours eu du mal à répondre à cette question, pourtant très courante. Il faut dire qu’en grandissant, j’ai souvent changé d’avis. Une vocation est rarement innée : elle se construit avec le temps, au fil des carrières envisagées, considérées, puis souvent abandonnées. Comme tout un chacun, j’ai donc eu au cours de ma vie de multiples vocations. Voici, de manière chronologique, les plus marquantes… avec pour chacune les traits qu’elles révèlent de ma personnalité de l’époque !

Se marier ou pacser à 30 ans

Vive la… pacsée ?!

Aujourd’hui, je me suis pacsée. En réalité, ce que je voulais, moi, c’était me marier. Mais comme on dit : « faute de grives, on se contente de merles ». Mon mariage, je l’avais en tête depuis toute petite. Le pacs, ersatz de la fameuse « union sacrée », ne m’a jamais spécialement attirée. Et maintenant que c’est fait, je vous confirme que c’était pas vraiment ce que j’attendais…

Avoir une vie parfaite à 30 ans

La pression de la perfection

Je ne suis pas du genre à avoir l’obsession de la perfection. En tous cas, je ne pensais pas l’avoir. Jusqu’à ce que je commence à regarder de plus près les différents articles publiés sur ce blog depuis son commencement et que je sois frappée de voir combien l’idée de la perfection y revenait systématiquement. Je parle souvent de « pression » associée à la trentaine. Il est vrai que la société fait reposer sur les jeunes trentenaires des attentes toujours plus hautes. On s’acharne à les faire rentrer dans des cases : à 30 ans, il faut être comme si, avoir déjà accompli cela. Mais ce qu’il faut également souligner, c’est combien les trentenaires se font eux-mêmes les complices de cette pression. En visant le toujours plus, le toujours mieux, le toujours plus vite… en un mot, en se lançant dans une course effrénée à la perfection. Je vous ai ainsi parlé d’être la femme parfaite, la mère parfaite, la personne qui organisera la fête d’anniversaire parfaite, avec les cadeaux parfaits. Soit tous ces éléments qui composent …

Naïve à 30 ans

Éloge de la naïveté

Etre adulte, c’est avoir de l’expérience, des connaissances, mais aussi un regard « éclairé » sur le monde qui nous entoure. Enfin, ça, c’est la théorie. Parce qu’en pratique, de la même manière que l’on ne devient pas raisonnable du jour au lendemain, on ne se réveille pas un beau matin en étant miraculeusement devenu plus lucide. Le fait est que même quand on arrive à 30 ans (ou presque), certains mystères de la vie continuent à nous échapper. Mais surtout, on a parfois besoin d’introduire de la magie dans notre quotidien. Dans ce cas-là, il suffit de faire fi du rationnel pour se laisser bercer d’illusions, quitte à replonger dans une naïveté enfantine. Mais vous savez quoi ? Je préfère être naïve que désabusée.

Etre vieille à 30 ans

Mes habitudes de vieille

Il y a quelques jours, j’ai fêté mes 35 ans. Et voilà, ça y est : j’ai la trentaine bien tassée. Mais je dois avouer que je n’ai pas attendu cet anniversaire fatidique pour devenir vieille dans ma tête. En effet, j’ai une tendance naturelle à me comporter comme une personne âgée. Bon, le point positif, c’est que cela ne semble pas avoir vraiment empiré ces dernières années. Je suis toujours la même petite mamie que je l’étais il y a cinq ans de cela, lorsque j’avais à peine 30 ans (ou presque).